’Institut de veille sanitaire face à la pandémie, Que nous apprennent les pandémies du passé ?, Le point sur le virus de la nouvelle grippe A(H1N1)v, Cas d’infection par le nouveau virus de la grippe A(H1N1)v en France, situation au 5 juin 2009, VoozaFlu : un outil au service de la surveillance de la nouvelle grippe A(H1N1)v, Le point sur les paramètres épidémiologiques dans l’épidémie due au nouveau virus de la grippe A(H1N1)v, Adaptation du dispositif de surveillance à la situation épidémiologique, Manifestations cliniques observées dans les premières séries de cas de grippe due au virus émergent Influenza A(H1N1)v, Grippe A(H1N1)v : naissance d’une pandémie - Bilan mondial au 5 juin 2009
Je suis grippé(e) et le médecin qui m’a examiné(e), m’a conseillé de rester à domicile. Je dois bien suivre ses recommandations et ses prescriptions. La grippe est une maladie très contagieuse : comment l’attrape-t-on ? J’adopte des mesures d’hygiène pour limiter la transmission à mes proches pendant toute la durée des symptômes, notamment tant que je tousse. Je me désinfecte les mains plusieurs fois par jour pour éviter de disséminer le virus qui s’y trouve
Le Groupe consultatif stratégique d’experts de la vaccination (SAGE) a tenu une réunion extraordinaire le 7 juillet 2009 à Genève (Suisse), afin de faire le point sur les vaccins destinés à lutter contre la pandémie 2009 de grippe A (H1N1) et de formuler des recommandations les concernant
Bachelot au « Quotidien » : « J’ai confiance en la médecine de ville et j’ai besoin d’elle » À partir d’aujourd’hui, les personnes qui présentent des symptômes évocateurs de la grippe devront contacter leur médecin traitant, qui évaluera leur état de santé et décidera de la conduite à tenir. Une évolution que les professionnels de santé doivent considérer de manière « attentive et sereine », selon la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot.
L’épidémiologie de la grippe A(H1N1) étant en constante évolution, l’OMS a rehaussé le niveau d’alerte à la pandémie à la phase 6, le 11 juin dernier. Ce rehaussement n’est pas dû à une virulence accrue mais plutôt à l’intensité et l’étendue de la transmission à travers le monde. Jusqu’à maintenant, on a pu constater que la plupart des cas étaient bénins et que la grippe se comportait comme la grippe saisonnière.
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A compter du 23 juillet, les médecins libéraux seront en première ligne pour la prise en charge de la grippe porcine. « La Cellule interministérielle de crise (CIC) a décidé de confirmer la prise en charge des malades par le secteur ambulatoire c’est-à-dire par la médecine libérale. C’est une des mesures qui étaientprévues dans le plan de lutte contre la pandémie grippale », a indiqué mercredi Brice Hortefeux, le ministrede l’Intérieur. « Les médecins généralistes seront au centre du dispositif », a souligné aussi Roselyne Bachelot. « Le SAMU-centre 15 reste en place », mais il est destiné à prendre en charge « les cas graves et les enfants de moins d’un an », a précisé la ministre de la Santé.
Finalement, ne vaudrait-il pas mieux attraper dès maintenant la grippe A (H1N1), pendant qu’elle n’est pas très virulente, plutôt que d’attendre la deuxième vague de l’automne prochain, qui risque d’être plus sévère ? Certains, en organisant des "swine flu parties" ("fêtes grippe porcine") aux Etats-Unis ou des "grippe parties" au Royaume-Uni, ont d’ores et déjà tranché : ces réunions visent à contracter délibérément le virus A (H1N1) afin de fabriquer des anticorps et être ainsi précocement immunisés. Une vaccination naturelle, en quelque sorte, mais que les spécialistes considèrent comme une fausse bonne idée.
Le vaccin contre la nouvelle grippe A/H1N1 "n’arrivera que progressivement et donc il y aura des gens à vacciner avant d’autres", a prévenu aujourd’hui le directeur général de la santé Didier Houssin. "Il y aura sûrement des choix à faire parce que le vaccin n’arrivera que progressivement. Donc il y aura des gens à vacciner avant d’autres. Ce sera une décision politique importante qui ne sera probablement pas prise avant septembre quand on en saura plus sur l’épidémie et les vaccins, leur efficacité, leur inconvénients", a-t-il expliqué sur Europe 1.
OTTAWA - Les femmes enceintes courent davantage de risques que le reste de la population de souffrir de complications graves de la grippe A(H1N1), ont averti vendredi les autorités canadiennes. "Heureusement, la plupart des personnes infectées par le virus de la grippe H1N1 au Canada ont contracté une forme bénigne de la maladie, mais nous constatons que certaines personnes, dont les femmes enceintes, sont plus susceptibles de souffrir d’une forme grave et de complications", a déclaré la ministre de la Santé Leona Aglukkaq.
La pandémie actuelle due au nouveau virus grippal A/H1N1 concerne toutes les entreprises et leurs salariés. L’INRS propose une sélection d’outils pour aider les entreprises à se préparer, établir un plan de continuité d’activité, afin d’assurer leur fonctionnement en mode dégradé, tout en protégeant la santé de leurs salariés : organisation du travail, protection collective, règles d’hygiène, protection respiratoire, sensibilisation des personnels.
En cas de pandémie, le respect des règles d’hygiène élémentaires sera indispensable pour limiter les risques de contamination. Il faut donc les connaître. La vie quotidienne en cas de pandémie se poursuivra chez soi, mais aussi à l’extérieur du domicile et au travail, même si certaines de nos pratiques habituelles seront bouleversées. Il faudra donc s’informer. Ici sont regroupées les informations qui ont trait à la maladie et qu’il faut connaître pour se soigner sans contaminer les autres
Au 11 juin 2009, 74 pays avaient notifié à l’OMS un total de 28 774 cas d’infection par le nouveau virus grippal A (H1N1) confirmés au laboratoire, dont 144 décès. L’épidémie, qui a débuté dans la Région des Amériques, s’est propagée dans toutes les Régions de l’OMS, à l’exception de la Région africaine. Le Japon a été l’un des premiers pays à détecter des cas sporadiques importés en Asie ; la Nouvelle Zélande1 a été le premier pays de la Région du Pacifique occidental à notifier des cas.
La question qui parait essentielle aux yeux du Comité est celle de savoir si l’état d’urgence induit par une pandémie grippale comporte l’éventualité d’une mise à l’arrière-plan de certains principes éthiques fondamentaux. Faut-il subordonner les libertés individuelles à d’autres valeurs plus ajustées à l’efficacité de la stratégie de lutte contre ce fléau sanitaire ? Jusqu’où une limitation aux allées et venues des personnes peut-elle être imposée ? A quelle condition notre société pourrait-elle accepter que certains de ses membres soient prioritairement vaccinés dans la phase de pénurie vaccinale ?
Le Plan canadien de lutte contre la pandémie d’influenza dans le secteur de la santé (le Plan) a été élaboré selon un processus de collaboration et de consultation entre les représentants des gouvernements fédéral, provinciaux, territoriaux, locaux et régionaux, d’experts dans leurs domaines respectifs et d’intervenants non gouvernementaux. L’élaboration originale du Plan fut coordonnée par Santé Canada selon les directives du Comité sur la pandémie de l’influenza, un comité consultatif technique fédéral, provincial et territorial. L’édition 2006 du Plan fut coordonnée par l’Agence de la santé publique du Canada. Le Plan est offert pour des fins d’information afin d’appuyer une planification cohérente et approfondie de la réponse du secteur de la santé par les gouvernements et autres intervenants selon leurs rôles et leurs responsabilités respectifs advenant une pandémie d’influenza au Canada.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a augmenté à la phase 5 (sur 6) le niveau d’alerte pandémique le 29 avril 2009. La phase 5 se caractérise par des flambées de cas, avec transmission interhumaine, dans au moins deux pays de la même région de l’OMS. A l’heure actuelle, plusieurs Etats au Mexique et aux USA sont touchés par l’infection avec la nouvelle grippe A(H1N1). Des cas de maladie ont été signalés dans d’autres pays.
Chaque année, une épidémie de grippe a lieu et, bien que la grippe ne soit pas bénigne pour tous, elle ne met pas en émoi pouvoir publics, spécialistes de la santé public, médecins, médias et grand public. Les virus responsables de ces épidémies annuelles évoluent régulièrement mais lorsqu’un changement brutal du virus apparaît, la population n’est pas immunisée, le nombre de personnes touchées est plus élevé : on parle alors de pandémie. Lors des trois pandémies qui ont eu lieu au XXème siècle (en 1918-19, en 1957-58 et en 1968-69), le taux d’attaque était de l’ordre de 50 à 60% mais seulement la moitié des personnes contaminées présentaient des symptômes.
La situation épidémiologique mondiale, l’importance des échanges et les connaissances tirées des pandémies grippales du XXème siècle ont amené le gouvernement à arrêter, en octobre 2004, un premier plan de lutte contre une nouvelle pandémie grippale et à lancer un processus planifié d’acquisition de moyens de prévention et de lutte. La présente édition est la quatrième, la précédente datant du 9 janvier 2007.
Créé en 1984, le GROG, réseau d’alerte précoce de la grippe, est devenu un symbole de la participation des médecins libéraux à la Santé Publique.
Vous pouvez prendre des mesures pour vous protéger contre l’un des pires « effets secondaires » de l’hiver, c’est-à-dire l’influenza, ou la grippe. Ces mesures simples comprennent se laver souvent les mains, tousser et éternuer dans votre bras/manche, obtenir un vaccin annuel contre la grippe et rester à la maison quand vous êtes malade.
lundi 27 juillet 2009 |
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