- Mycose vulvo-vaginale
- A.Valiton-Crusi - Département de gynécologie et d'obstétrique - Hôpitaux Universitaires de Genève
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Infection extrêmement répandue:
- 75 % des femmes développent un jour ou l'autre une mycose vaginale
- 40-50 % des femmes ont au moins 2-3 épisodes de vaginite au cours de leur vie
- 10 à 20 % des femmes souffrent d'une candidose vaginale récidivante (soit 4 épisodes par an ou plus)
- 20 % des patientes sont des porteuses asymptomatiques (ces patientes ne doivent pas être traitées)
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- Les mycoses
- Institut Pasteur
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- Il existe plus de 200 000 espèces de champignons, dont une petite centaine est impliquée dans des maladies humaines. Les champignons microscopiques nuisibles à la santé de l'homme peuvent provoquer différentes manifestations regroupées sous le terme de "mycoses" : depuis les mycoses dites superficielles, qui touchent la peau ou les ongles, jusqu'aux mycoses dites systémiques qui peuvent toucher tous les autres tissus ou organes et sont souvent très graves, notamment chez les sujets immunodéprimés. La cryptococcose, les candidoses et l'aspergillose, ici décrites, font partie des mycoses humaines les plus fréquentes.
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- Infections à dermatophytes de la peau glabre, des plis et des phanères
M. FEUILHADE (Paris, St Louis), J. BAZEX (Toulouse), A. CLAUDY (Lyon), J.-C. ROUJEAU (Créteil)
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- Diagnostiquer et traiter une infection à dermatophytes de la peau glabre, des plis et des phanères.
Les dermatophytoses sont des motifs fréquents de
consultation. Ces infections sont dues à des champignons
filamenteux, à mycelium cloisonné, les dermatophytes.
Ils appartiennent à 3genres, Epidermophyton, Microsporum
et Trichophyton.
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- MODALITÉS DE DIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE DES ONYCHOMYCOSES - [2007]
Société Française de Dermatologie ]
." - source:In Ann Dermatol Venereol 2007;134:5S7-16 - [France ]
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- "Les thèmes et les objectifs des recommandations portent sur : le diagnostic clinique (savoir reconnaître une onychomycose, les éléments du diagnostic, en fonction de la localisation, de l'âge) ; le diagnostic microbiologique et ses résultats (le prélèvement mycologique : nécessité ? technique ? les espèces retrouvées, interprétation du résultat du prélèvement) ; la prise en charge thérapeutique (avant et après le résultat du prélèvement mycologique ?) ; le suivi (quel est le risque de récidive ? quelle prévention ?)
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- Prise en charge des candidoses et aspergilloses invasives de ladulte
Conférence de Consensus commune organisée conjointement par la SFAR, la SPILF et la SRLF
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- La recherche de levures et de champignons filamenteux doit être systématique chez les patients à risque. Seuls les prélèvements tissulaires ou de sites normalement stériles sont spécifiques. Lexamen direct est crucial car il oriente le diagnostic et restera parfois le seul argument biologique. Il est donc systématique, réalisé rapidement avec des techniques spécifiques. De plus, lexamen histologique des tissus permet dapprécier le caractère invasif de linfection. La présence de Candida sp. dans les sécrétions provenant des voies aériennes inférieures, y compris le lavage broncho-alvéolaire, na pas de valeur diagnostique
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