Il est bien établi que l’obésité est un facteur de risque du diabète de type 2 (DT2). Il est également bien établi qu’une perte de poids de 5 à 10% de la masse corporelle peut, au moins au début de la maladie, améliorer notablement les glycémies. Il est également bien établi que la clé de ce lien obésité-diabète est le mécanisme de résistance à l’insuline [1]. Toutes les recommandations insistent sur l’hygiène de vie comme traitement de première intention du DT2. Le sur-risque de mortalité chez ces patients est représenté essentiellement par les maladies cardiovasculaires [Bibliomed 779].