Il est habituel de désigner sous le nom de lymphome agressif ou lymphome de haut grade de malignité, un certain nombre d’affections dont le pronostic avant les années 1970 était particulièrement péjoratif, la grande majorité des patients étant emportée par la maladie en quelques mois ou quelques années. L’avènement des polychimiothérapies comportant des anthracyclines a permis de modifier le pronostic de ces patients, la moitié environ d’entre eux pouvant être actuellement considérés comme guéris.