Les atteintes rénales restent au premier plan des problèmes diagnostiques, pronostiques et thérapeutiques au cours du lupus érythémateux disséminé (LED). Les glomerulopathies lupiques paraissent très proches de la glomérulopathie chronique expérimentale à complexes immuns. En fonction de la quantité, la taille, la stabilité et l’affinité des anticorps produits en excès, des lésions rénales plus ou moins sévères s’installent.