"Help, je comprends rien à mes analyses de sang", "j’aimerais savoir les signes probables d’un cancer des poumons", "je sors de chez le gynéco et j’ai quelques questions" : internet s’invite aujourd’hui dans la relation médecin-patient pour un mariage à trois plus ou moins heureux.
"A l’ère du numérique, on ne va plus ouvrir des dicos médicaux et M. Google nous donne des clés qui, parfois, sont de mauvaises clés", reconnaissait le vice-président du Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) Jacques Lucas lors des Entretiens de Bichat.