L’Agence d’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé (AETMIS) publie aujourd’hui son rapport sur le syndrome de fatigue chronique (aussi appelé encéphalomyélite myalgique) au terme duquel elle conclut qu’il faut améliorer les connaissances des intervenants ainsi que les capacités du réseau de la santé et des services sociaux de prendre en charge de façon globale les personnes atteintes. Ces améliorations pourraient s’appuyer, entre autres, sur la création de un ou de deux centres spécialisés offrant un soutien pour le diagnostic et la réadaptation.