Y a-t-il des problèmes de mauvaise observance voire de refus des traitements antalgiques chez l’enfant ? Même si des améliorations considérables ont été réalisées ces 20 dernières années, des résistances à l’administration, et la mise en œuvre des moyens de prévention et de traitement de la douleur peuvent persister et venir de l’enfant lui-même, des parents mais aussi des soignants. En effet, l’adhésion au traitement est un processus qui se construit à plusieurs : l’enfant, ses parents, les soignants.