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Qu’est ce qu’un psychologue ?
Un psychologue est un professionnel qui a suivi une formation universitaire Bac +5 en Psychologie, et, dans de nombreux cas, une formation personnelle. La formation du psychologue est centrée sur la compréhension du comportement humain et sur la capacité à être attentif aux difficultés d’autrui. Il est formé aux techniques d’entretien et à la passation de tests psychologiques.
Où sévit la maladie à virus Zika ? La maladie à virus Zika touche les zones tropicales où vivent d’importantes populations de moustiques. On sait que le virus circule en Afrique, dans les Amériques, en Asie du Sud et dans le Pacifique occidental. Le virus Zika a été découvert en 1947, mais, pendant de nombreuses années, seuls des cas humains sporadiques ont été détectés en Afrique et en Asie du Sud. La première flambée épidémique attestée est survenue en 2007 dans le Pacifique.
Pourquoi c’est important ? Parce que le délai moyen pour obtenir un rendez vous avec un psychologue dans le service public est de six mois et que le coût d’une consultation en libéral est inaccessible pour la majorité des français qui ne peuvent donc bénéficier de soins psychologiques. Pour que l’accès a la consultation d’un psychologue et aux soins psychologiques devienne une priorité de santé publique des milliers de concitoyens demandant a consulter un psychologue pour eux mêmes ou pour leurs enfants doivent en France attendre en moyenne six mois pour obtenir un rendez vous dans un C.M.P (centre médico psychologique) du service public,ou C.M.P.P (centre médico psycho pédagogique) du service semi public, et ne peuvent accéder financièrement à une consultation avec un psychologue exerçant en libéral (seulement remboursée par quelques rares et coûteuses mutuelles) et donc encore moins à des soins psychiques s’ils s’inscrivent dans la durée.
La base de données publique des médicaments permet au grand public et aux professionnels de santé d’accéder à des données et documents de référence sur les médicaments commercialisés ou ayant été commercialisés durant les deux dernières années en France. Cette base de données administratives et scientifiques sur les traitements et le bon usage des produits de santé est mise en œuvre par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), en liaison avec la Haute Autorité de santé (HAS) et l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (UNCAM), sous l’égide du ministère des Affaires sociales et de la santé.
Quelle est la situation actuelle des pilules estroprogestatives en France ?
Quelles ont été les principales étapes de la ré-évaluation des pilules estroprogestatives ?
Quelles sont les informations mises à disposition des femmes et des professionnels de santé sur le risque thromboembolique des pilules estroprogestatives de 3ème et 4ème générations ?
Quelles sont les données sur le risque thrombotique issues de la base nationale de pharmacovigilance ?
Quelles sont les données sur le risque thromboembolique veineux issues des études de pharmacoépidémiologie ?
Quelles sont les actions que l’ANSM a mis en place pour limiter le risque thromboembolique lié aux pilules de 3ème et 4ème générations ?
La croissance de l’intelligence, de la sensibilité, des capacités de relation de chaque enfant est à la fois robuste et infiniment fragile. Livré seul aux écrans, il dérivera dans la solitude, tandis qu’accompagné il en fera des usages nouveaux que la génération de ses parents n’imagine pas. Prudence lucide et émerveillement attentif sont, en fin de compte, les meilleurs services aue nous puissions rendre à cet enfant du siècle nouveau.
Malades imaginaires et vrais patients devenus experts, les deux tiers d’entre nous cherchent des renseignements médicaux sur la Toile. Une démarche qui agace ou séduit les médecins
Une équipe d’adultes aux compétences professionnelles complémentaires, habitués à répondre aux questions des jeunes. Nous avons tous l’expérience de l’écoute téléphonique sur le numéro vert Fil Santé Jeunes (3224). Notre équipe est composée de professionnels de santé (médecins et psychologues) et chaque texte publié est validé par un comité de rédaction composé de plusieurs membres de l’équipe. Elle comporte aussi des professionnels du net.
Les guides ALD destinés aux médecins traitants publiés aujourd’hui par la HAS et l’INCa traitent de trois cancers féminins : les cancers du sein, de l’ovaire et les cancers invasifs du col utérin. Ces guides ont pour objectif d’expliciter la prise en charge optimale et le parcours de soins des malades admis en Affection de longue durée (ALD) pour chacun de ces cancers.
Le 5 novembre 2009, le Premier ministre nous a demandé de lui proposer des mesures pour améliorer les conditions de santé psychologique au travail. Le présent rapport est le fruit de nos travaux, qui se sont déroulés du 15 novembre 2009 au 15 février 2010. Il ne s’agit pas d’un rapport d’experts mais de « praticiens » : notre ambition était de mettre notre connaissance pratique du monde des salariés et de l’entreprise au service de ce sujet.
Le bisphénol A (BPA) est utilisé depuis plus de 40 ans, dans de très nombreuses applications dont les matériaux au contact des aliments et de l’eau. Des évaluations de risque menées par les agences sanitaires - en particulier la FDA aux Etats-Unis, l’Efsa en Europe en 2008 - ont conclu, sur la base des données scientifiques disponibles, à l’absence de risque pour le consommateur dans les conditions d’emploi.
Pour la 7ème année consécutive le Conseil national de l’Ordre des médecins a entrepris une enquête nationale sur la permanence des soins, assurée par les médecins généralistes et les modalités de son organisation. L’enquête 2010 démontre une nouvelle fois que les médecins continuent à assumer vis-à-vis de la population leurs responsabilités professionnelles sur l’ensemble du territoire national. L’érosion du volontariat est pourtant là et constituera un défi pour les Agences Régionales de Santé (ARS).
La gastroentérite est un trouble digestif fulgurant qui cause nausées, vomissements, crampes à l’abdomen et diarrhée. Elle affecte à la fois l’estomac et l’intestin, dont les parois deviennent temporairement enflammées. Dans la majorité des cas, cette affection est de courte durée. Les symptômes disparaissent au bout d’un à trois jours. La gastroentérite est provoquée par de nombreux virus, bactéries ou autres micro-organismes qui contaminent la nourriture ou l’eau. L’intensité des symptômes varie selon la cause.
Fermeture des centres, vaccins dans les pharmacies : à compter du 1er février, les médecins libéraux vont reprendre la main sur la vaccination contre la grippe H1N1, mais le retour au système traditionnel va demander des ajustements. "Nous avons conclu hier (jeudi, ndlr) un accord avec les 23.000 pharmaciens, donc à partir du 1er février, les médecins généralistes vont pouvoir se procurer les vaccins dans les pharmacies, ce qui va lever les dernières réticences", a annoncé vendredi Roselyne Bachelot.
Alors que Météo France prévoit pour ces prochains jours un renforcement du froid dans certains départements, la direction générale de la santé rappelle les principales mesures à adopter en cas de grand froid, notamment pour les populations vulnérables (sans-abri, nourrissons, personnes âgées ou présentant certaines pathologies chroniques cardiovasculaires, respiratoires ou endocriniennes). Le grand froid, le vent glacé, la neige sont des risques météorologiques qui peuvent être dommageables pour la santé. Leurs effets sont insidieux et peuvent passer inaperçus. Il faut donc redoubler de vigilance.
S’abstenir de fumer, maintenir un poids santé, manger sainement, s’adonner régulièrement à l’activité physique, ne pas trop boire d’alcool et bien gérer son stress, de concert avec le dépistage et le traitement précoces de l’hypertension artérielle, de l’hypercholestérolémie et du diabète, contribuent grandement à réduire le risque de maladie du cœur ou d’accident vasculaire cérébral (AVC), de même que le risque de subir une autre crise cardiaque ou un autre AVC.
Du 1er juillet au 2 novembre 2009, les cliniciens signalaient à l’Institut de veille sanitaire les hospitalisations avec un diagnostic de grippe A(H1N1) confirmé au laboratoire ou probable. Depuis le 2 novembre, le signalement des cliniciens à l’InVS se limite aux formes graves (admis en unité de soins intensifs ou en service de réanimation ou décédés). Chaque signalement de cas s’accompagne d’un suivi de l’évolution du patient jusqu’à sa sortie ou son décès.
Conformément aux instructions du Président de la République, la campagne de vaccination s’est poursuivie les samedi 19 et dimanche 20 décembre. Le nombre de centres ouverts montre que la mobilisation du dispositif est restée élevée ; compte tenu du début des vacances scolaires, le nombre de personnes vaccinées samedi et dimanche a été moins important que les deux week-ends précédents, tout en restant conséquent.
Ce rapport représente une somme de travail considérable et couvre avec pertinence et pédagogie les questions posées par l’impact sanitaire éventuel des communications sans fil et en particulier de la téléphonie mobile. Il donne aux citoyens et aux élus les éléments scientifiques nécessaires à une gestion apaisée des questions posées par la téléphonie mobile et permet d’éclairer la justice. Il montre tout d’abord que les hypothèses concernant les mécanismes biologiques qui auraient pu être à l’origine d’un effet sanitaire des radiofréquences n’ont pas été confirmées
Environ 60% des patients admis en réanimation pour une grippe A(H1N1)2009 présentent un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), principalement d’origine virale ou lié à une pneumopathie bactérienne secondaire dans environ 30% des cas. Ces patients ont un âge médian de 30 à 45 ans, incluant de jeunes enfants, alors que moins de 10% ont plus de 65 ans. La détresse respiratoire apparaît en 4 jours, est sévère, impose le recours à une ventilation mécanique optimale et a justifié une oxygénation extracorporelle (ECMO) chez environ 10% de ces malades. La mortalité en réanimation est d’environ 15%, mais de 20 à 25% en cas de SDRA. La précocité du traitement antiviral est associée à la survie.
Les chiffres relevés jeudi 10 décembre dans les centres de vaccination montrent que la mobilisation du dispositif se maintient à un niveau élevé, tant en ce qui concerne le nombre de centres ouverts que le nombre de personnes vaccinées. Après le pic du mercredi (dû au grand nombre d’enfants présents), les centres ont retrouvé jeudi la forte activité des jours précédents.
vendredi 22 avril 2016 |
Aucun renseignement médical d’ordre personnel ne peut être fourni par correspondance. Il faut consulter son médecin pour obtenir, après un entretien, un examen clinique et d’éventuels examens complémentaires, des recommandations et prescriptions personnelles et précises, notamment en matière de diagnostic et de traitement. |
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