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Trouble obsessionnel compulsif (TOC)

Maladies, symptômes et pathologies

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Neurobiologie et pharmacothérapie du trouble obsessionnel-compulsif

Le trouble obsessionnel-compulsif est un trouble anxieux qui touche environ 2,5% de la population. La patho- génie du trouble inclut un facteur génétique vraisemblable, mais d’importance modérée. Les études d’imagerie cérébrale ont mis en évidence une hyperactivité au niveau du cortex préfrontal et du noyau caudé qui paraît refléter des anomalies dans les circuits cérébraux. Le traitement pharmacologique du trouble obsessionnel-compulsif comprend en première ligne les antidépresseurs de type inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège


Trouble obsessionnel-compulsif

Le trouble obsessif-compulsif (TOC) est un trouble anxieux chronique, potentiellement invalidant. Il est caractérisé par des pensées (obsessions) indésirables et récurrentes et par des comportements répétitifs et dénués de sens, mais extrêmement difficiles à maîtriser (compulsions). Les personnes atteintes ont souvent un sentiment d’impuissance, souffrent psychologiquement et sont anxieuses à cause de leur état.

Voir en ligne : Santé Ontario


Troubles obsessionnels compulsifs

La vie est un " enfer " pour 2 à 3 % des Français atteints de troubles obsessionnels compulsifs (Toc), maladie loin d’être rare mais dont on parle peu. Les étranges pensées et les irrésistibles manies qui la caractérisent envahissent chaque jour des centaines d’enfants, dont seulement 1 % sont réellement pris en charge. Pourtant, il suffit de quelques mois de psychothérapie et de recours éventuel à des médicaments du type antidépresseurs, pour aller vers une amélioration et reprendre une vie normale.

Voir en ligne : Diane Mottez, AP-HP


Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC)

Le trouble obsessionnel-compulsif est une maladie caractérisée par la présence d’obsessions (idées, images ou impulsions qui s’imposent à la conscience de façon répétitive et irrépressible suscitant énormément d’anxiété ou de détresse) accompagnées ou non de compulsions (comportements répétitifs accomplis, réellement ou en pensée, par la personne atteinte pour réduire la tension intérieure engendrée par les obsessions). Les obsessions ou compulsions sont à l’origine de sentiments marqués de détresse, d’une perte de temps considérable (prenant plus d’une heure par jour) ou elles interfèrent de façon significative avec les activités habituelles de la personne, son fonctionnement professionnel (ou scolaire) ou ses activités ou relations sociales habituelles.

Voir en ligne : lecerveau.mcgill


Troubles obsessionnels compulsifs (TOC) résistants : prise en charge et place de la neurochirurgie fonctionnelle

Les données de prévalence de sources américaines et anglaises récentes montrent que le trouble obsessionnel compulsif (TOC) toucherait environ 2 % de la population adulte. Le TOC serait ainsi la 4e pathologie psychiatrique la plus fréquente après les troubles phobiques, les troubles liés aux toxiques (alcool et drogue) et les troubles dépressifs. Le début du trouble est précoce, son évolution est chronique dans la plupart des cas. Les études montrent l’hétérogénéité clinique de la maladie et l’importance de la typologie a été soulignée pour la prise en charge des patients. Les études familiales et de ségrégation ont montré l’influence de facteurs génétiques et/ou environnementaux dans la genèse de la maladie. L’hypothèse de l’implication d’un dysfonctionnement du circuit orbito-fronto-striato-thalamocortical dans le TOC est confortée par les données cliniques et la neuro-imagerie fonctionnelle.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Le trouble obsessionnel compulsif

Le trouble obsessionnel compulsif (TOC) est une maladie psychiatrique répandue, chronique, fluctuante et particulièrement invalidante. Plusieurs catégories symptomatiques sont décrites, en fonction des modes de présentation et des mécanismes cognitifs sous-jacents. Il s’agit d’une pathologie à composante génétique marquée, mais certains facteurs environnementaux susceptibles d’entraîner des lésions cérébrales, particulièrement au niveau striatal, peuvent également en être responsables...

Voir en ligne : Revue Médicale de Bruxelles



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Mise à jour le
samedi 1er mai 2010

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