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Hypothyroïdie

Maladies, symptômes et pathologies

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Faut-il dépister et traiter l’hypothyroïdie infraclinique ?

L’hypothyroïdie infraclinique, définie comme un taux d’hormone thyréotrope élevé et une thyroxine normale, est une condition dont la prévalence augmente avec l’âge, surtout après 65 ans. Cette condition a été potentiellement associée à d’importants risques à long terme, comme les maladies cardiovasculaires et les troubles cognitifs. A ce jour, les indications au dépistage et à la substitution hormonale restent cependant controversées. Dans cette revue, nous allons revoir les données sur les risques de l’hypothyroïdie infraclinique et les bénéfices potentiels de son traitement. Un grand essai randomisé européen devrait clarifier cette controverse, afin d’améliorer la prise en charge clinique de ces patients et fournir d’importantes données sur les facteurs liés au maintien en bonne santé des personnes âgées.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse


Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

L’hypothyroïdie est l’incapacité de la glande thyroïde à produire suffisamment d’hormones thyroïdiennes. Son dysfonctionnement retentit sur les grandes fonctions physiologiques de l’organisme. Néanmoins, on peut remplacer les hormones manquantes par un traitement substitutif.

Voir en ligne : Ameli.fr


Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

La thyroïde est une glande située à la base du cou qui fabrique les hormones thyroïdiennes. L’hypothyroïdie regroupe toutes les situations où la production d’hormones thyroïdiennes est compromise de manière transitoire ou permanente. Certaines hypothyroïdies sont congénitales (c’est-à-dire présentes dès la naissance, mais pas forcément d’origine génétique), d’autres sont acquises, c’est-à-dire qu’elles apparaissent au cours de la vie.

Voir en ligne : Intégrascol


Les dysthyroïdies en médecine de premier recours

Le bilan thyroïdien comporte le dosage de la TSH (thyroid stimulating hormon) et de l’hormone thyroïdienne T4 libre en cas d’anomalie de la TSH. Ces tests sont fréquemment pratiqués en médecine de premier recours en raison des nombreuses situations cliniques pouvant faire évoquer une dysfonction thyroïdienne telle que fatigue, trouble de l’humeur ou trouble du rythme cardiaque. Les indications au traitement en cas de dysfonctions thyroïdiennes infracliniques restent controversées en l’absence de grandes études randomisées. Nous proposons une approche diagnostique pour le médecin de premier recours face à une perturbation des tests thyroïdiens. Une stratégie de prise en charge est proposée pour les principales dysfonctions thyroïdiennes, ainsi que les situations justifiant de faire appel aux spécialistes.

Voir en ligne : Rev Med Suisse


Hypothyroïdies frustes chez l’adulte : diagnostic et prise en charge

L’hypothyroïdie fruste, encore appelée asymptomatique, occulte ou infraclinique, est définie par un taux de TSH élevé au-delà d’une limite fixée à 4 mUI/l (accord professionnel), confirmé par un deuxième dosage dans le mois qui suit le premier, sans anomalie de la concentration de la T4L, en présence ou non de signes cliniques évoquant une hypothyroïdie.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

La glande thyroïde est une petite glande en forme de papillon, située à la partie antérieure du cou, devant les premiers anneaux de la trachée. Elle est composée de deux lobes (les ailes du papillon) réunis par un isthme. Elle produit des hormones thyroïdiennes qui contiennent de l’iode en grande quantité. Ces hormones, la thyroxine (T 4) et la triiodothyronine (T 3), sont essentielles à la vie et exercent de nombreux effets sur le métabolisme, la croissance et le développement.

Voir en ligne : Association des médecins endocrinologues du Québec


Hypothyroïdie (activité insuffisante de la thyroïde)

L’hypothyroïdie se manifeste par la production insuffisante d’hormones thyroïdiennes T4 et T3. Elle peut avoir quatre causes principales : -# traitement du goitre exophtalmique par iode radioactif ou par thyroïdectomie ; -# stade terminal de la thyroïdite chronique d’Hashimoto (inflammation de la glande thyroïde) ; cela peut se présenter spontanément au cours du goitre exophtalmique ; -# défaut congénital (absence de glande thyroïde à la naissance) ; -# ablation chirurgicale de la glande thyroïde (traitement du cancer de la thyroïde).

Voir en ligne : La Fondation canadienne de la Thyroïde.


Thyroïdites

La possibilité d’une thyroïdite doit être envisagée dans le diagnostic différentiel chez tous les patients porteurs d’un goitre (diffus) et/ou d’une hyper ou hypothyroïdie sans étiologie déterminée. La thyroïdite lymphocytaire chronique de Hashimoto, fréquente, est caractérisée par un goitre diffus, des titres élevés d’anticorps antithyroperoxydase et une hypothyroïdie.

Voir en ligne : Ulrich Bürgi | Inselspital Bern


Prescription des examens biologiques liés à l’exploration thyroïdienne en ambulatoire en Île-de-France

Des progrès considérables dans la connaissance de la physiopathologie thyroïdienne et des techniques d’analyse biologique ainsi qu’une médiatisation importante des affections de la thyroïde peuvent expliquer la fréquence élevée des ordonnances d’examens biologiques thyroïdiens. En Île-de-France, le montant remboursé des actes d’exploration thyroïdienne représentait 5,5% du montant total des actes de biologie remboursés au premier semestre 2002, soit un montant de 9 825 841 €, pour un montant France entière de 6,5 % soit 135,7 millions d’€.

Voir en ligne : URCAM


Conseils pratiques sur les affections thyroïdiennes

Quelque 200 millions de personnes dans le monde ont une maladie de la thyroïde sous une forme ou sous une autre. Pourtant, avant que la Fondation canadienne de la Thyroïde ne soit créée en 1980, il n’existait en Amérique du Nord aucun organisme de vulgarisation pour éduquer le public à ce sujet et l’inciter à soutenir la recherche en ce domaine. Il est possible de soigner la plupart des désordres thyroïdiens ; cependant, une maladie thyroïdienne que l’on ne soigne pas risque d’avoir des conséquences très néfastes sur d’autres parties du corps. En éveillant davantage l’attention du public et en lui apprenant à mieux comprendre les troubles thyroïdiens, les malades et leurs proches sauront réagir d’une manière plus utile face à ces maladies qui prennent parfois une tournure inquiétante. Ainsi, les personnes averties seront plus aptes à signaler à leur médecin les indices d’un dérèglement possible de leur thyroïde, car le diagnostic est quelquefois difficile à établir et la maladie peut évoluer très lentement dans ses premières phases.

Voir en ligne : Fondation canadienne de la thyroïde



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Mise à jour le
mardi 28 avril 2015

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