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Endocrinologie

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Faut-il dépister et traiter l’hypothyroïdie infraclinique ?

L’hypothyroïdie infraclinique, définie comme un taux d’hormone thyréotrope élevé et une thyroxine normale, est une condition dont la prévalence augmente avec l’âge, surtout après 65 ans. Cette condition a été potentiellement associée à d’importants risques à long terme, comme les maladies cardiovasculaires et les troubles cognitifs. A ce jour, les indications au dépistage et à la substitution hormonale restent cependant controversées. Dans cette revue, nous allons revoir les données sur les risques de l’hypothyroïdie infraclinique et les bénéfices potentiels de son traitement. Un grand essai randomisé européen devrait clarifier cette controverse, afin d’améliorer la prise en charge clinique de ces patients et fournir d’importantes données sur les facteurs liés au maintien en bonne santé des personnes âgées.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse


Qu’est-ce que l’hyperthyroïdie ?

Située à l’avant du cou, la thyroïde est une petite glande contrôlée par le cerveau. Parfois, elle produit trop d’hormones, c’est l’hyperthyroïdie. De nombreuses fonctions du corps peuvent alors être perturbées. Cette maladie a des causes multiples. On parle d’hyperthyroïdie lorsque la glande thyroïde produit trop d’hormones. L’excès d’hormones thyroïdiennes engendre des troubles de la santé : la thyréotoxicose.

Voir en ligne : Ameli.fr


Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

L’hypothyroïdie est l’incapacité de la glande thyroïde à produire suffisamment d’hormones thyroïdiennes. Son dysfonctionnement retentit sur les grandes fonctions physiologiques de l’organisme. Néanmoins, on peut remplacer les hormones manquantes par un traitement substitutif.

Voir en ligne : Ameli.fr


Qu’est-ce que l’hyperthyroïdie ?

La thyroïde est une glande située à la base du cou qui fabrique les hormones thyroïdiennes. L’hyperthyroïdie regroupe toutes les situations où cette production d’hormones thyroïdiennes est excessive de manière transitoire ou permanente. Certaines causes sont congénitales (présentes dès la naissance, d’origine génétique ou non), d’autres sont acquises, l’hyperthyroïdie se développant alors au cours de la vie. Les symptômes de l’hyperthyroïdie (goitre, exophtalmie, hyperactivité, tachycardie, perte de poids, diarrhée chronique, accélération de la vitesse de croissance ...) disparaissent sous traitement et l’enfant mène alors une vie normale.

Voir en ligne : Intégrascol


Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

La thyroïde est une glande située à la base du cou qui fabrique les hormones thyroïdiennes. L’hypothyroïdie regroupe toutes les situations où la production d’hormones thyroïdiennes est compromise de manière transitoire ou permanente. Certaines hypothyroïdies sont congénitales (c’est-à-dire présentes dès la naissance, mais pas forcément d’origine génétique), d’autres sont acquises, c’est-à-dire qu’elles apparaissent au cours de la vie.

Voir en ligne : Intégrascol


Les dysthyroïdies en médecine de premier recours

Le bilan thyroïdien comporte le dosage de la TSH (thyroid stimulating hormon) et de l’hormone thyroïdienne T4 libre en cas d’anomalie de la TSH. Ces tests sont fréquemment pratiqués en médecine de premier recours en raison des nombreuses situations cliniques pouvant faire évoquer une dysfonction thyroïdienne telle que fatigue, trouble de l’humeur ou trouble du rythme cardiaque. Les indications au traitement en cas de dysfonctions thyroïdiennes infracliniques restent controversées en l’absence de grandes études randomisées. Nous proposons une approche diagnostique pour le médecin de premier recours face à une perturbation des tests thyroïdiens. Une stratégie de prise en charge est proposée pour les principales dysfonctions thyroïdiennes, ainsi que les situations justifiant de faire appel aux spécialistes.

Voir en ligne : Rev Med Suisse


Recommandations de la Société française d’endocrinologie pour la prise en charge des nodules thyroïdiens

Le document ici proposé s’inscrit dans la lignée des recommandations pour la pratique que la Société française d’endocrinologie a constituées à l’usage de ses membres et mises à la disposition des communautés scientifiques et des médecins qui le souhaitent. Se fondant sur une analyse critique des données de la littérature, des consensus et recommandations déjà parues au plan international, il constitue une actualisation du rapport sur la prise en charge diagnostique du nodule thyroïdien, proposé en France en 1995 sous l’égide de l’Agence nationale d’évaluation médicale.

Voir en ligne : Société française d’endocrinolo


Anorexie mentale : prise en charge

Ces recommandations de bonne pratique ont pour objectif d’aider à : repérer plus précocement l’anorexie mentale ;

  • améliorer l’accompagnement du patient et de son entourage ;
  • améliorer la prise en charge et l’orientation initiale des patients ;
  • améliorer la prise en charge hospitalière lorsqu’elle est nécessaire et la prise en charge post-hospitalière.
    Sont concernés : les préadolescents, les adolescents et les jeunes adultes.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Traitements hormonaux et nutritionnels en médecine anti-âge

La découverte des traitements de substitution hormonale pour les patients souffrant de diabète, d’hypothyroïdie ou de maladie d’Addison a représenté l’une des grandes avancées de la médecine. Il est ainsi compréhensible que l’efficacité de la substitution hormonale ait été investiguée pour les personnes vieillissantes, chez qui on assiste à un déclin physiologique des hormones stéroïdiennes sexuelles, de DHEA ou d’hormone de croissance. L’utilisation d’hormones comme thérapie anti-âge est en augmentation, et fait courir des risques potentiels d’effets secondaires mal ou sous-évalués à la population vieillissante.

Voir en ligne : Société Suisse d’Endocrinologie et de Diabétologie


Hypothyroïdies frustes chez l’adulte : diagnostic et prise en charge

L’hypothyroïdie fruste, encore appelée asymptomatique, occulte ou infraclinique, est définie par un taux de TSH élevé au-delà d’une limite fixée à 4 mUI/l (accord professionnel), confirmé par un deuxième dosage dans le mois qui suit le premier, sans anomalie de la concentration de la T4L, en présence ou non de signes cliniques évoquant une hypothyroïdie.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Risques de cancers et perturbateurs endocriniens

Depuis le début des années 1990, la problématique des effets sanitaires des perturbateurs endocriniens (PE) a émergé auprès du grand public à partir d’observations réalisées dans les divers écosystèmes aquatiques sur la faune vivant en liaison directe ou indirecte avec des milieux pollués. La contamination de la chaîne alimentaire a provoqué des phénomènes de perturbation significatifs sur la reproduction et le développement et des malformations des organes sexuels chez diverses espèces animales (poissons, oiseaux, batraciens ou mammifères)1.

Voir en ligne : INCa Institut National du Cancer


Puberté : du normal au pathologique

Médecins de famille, nous sommes parfois interpellés par des parents que le développement pubertaire de leur enfant inquiète. Si la plupart du temps, il n’y a pas d‘inquiétude à avoir, il ne faut pas manquer un retard ou une avancée pubertaires réels de même qu’une pathologie potentiellement grave dont l’absence de prise en charge peut avoir des conséquences non négligeables physiques ou psychologiques chez nos jeunes patients. Quand faut-il s’inquiéter ? Quelle mise au point est nécessaire ? Quel traitement appliquer ? Voilà les questions traitées par cet article.

Voir en ligne : Dr Patricia Eeckeleers


Grandir : De l’information pour les filles au sujet de la puberté

La puberté est une période au cours de laquelle ton corps passe par de nombreux changements : tu passes de l’enfance à l’adolescence, puis à l’âge adulte. La puberté ne se déclenche pas au même moment pour tout le monde, mais en général, elle commence entre 8 et 13 ans chez les filles. La puberté ne se produit pas du jour au lendemain. C’est un processus qui se poursuit pendant plusieurs années. Pour comprendre ce qui se passe, il est bon de connaître un peu le fonctionnement de ton corps :

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie


Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

La glande thyroïde est une petite glande en forme de papillon, située à la partie antérieure du cou, devant les premiers anneaux de la trachée. Elle est composée de deux lobes (les ailes du papillon) réunis par un isthme. Elle produit des hormones thyroïdiennes qui contiennent de l’iode en grande quantité. Ces hormones, la thyroxine (T 4) et la triiodothyronine (T 3), sont essentielles à la vie et exercent de nombreux effets sur le métabolisme, la croissance et le développement.

Voir en ligne : Association des médecins endocrinologues du Québec


Hypothyroïdies frustes chez l’adulte : diagnostic et prise en charge

Ces recommandations ont pour objectif de :

  • clarifier la notion d’hypothyroïdie fruste et sa relation avec les différents - - signes cliniques ou biologiques qui lui sont couramment imputés ;
  • rationaliser la prescription des dosages biologiques (TSH et T4L) ;
  • évaluer l’opportunité d’un dépistage ;
  • évaluer l’utilité d’un traitement de l’hypothyroïdie fruste et ses indications. Elles abordent deux situations particulières :
  • la grossesse ;
  • la personne âgée.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Hypothyroïdie (activité insuffisante de la thyroïde)

L’hypothyroïdie se manifeste par la production insuffisante d’hormones thyroïdiennes T4 et T3. Elle peut avoir quatre causes principales : -# traitement du goitre exophtalmique par iode radioactif ou par thyroïdectomie ; -# stade terminal de la thyroïdite chronique d’Hashimoto (inflammation de la glande thyroïde) ; cela peut se présenter spontanément au cours du goitre exophtalmique ; -# défaut congénital (absence de glande thyroïde à la naissance) ; -# ablation chirurgicale de la glande thyroïde (traitement du cancer de la thyroïde).

Voir en ligne : La Fondation canadienne de la Thyroïde.


Thyroïdites

La possibilité d’une thyroïdite doit être envisagée dans le diagnostic différentiel chez tous les patients porteurs d’un goitre (diffus) et/ou d’une hyper ou hypothyroïdie sans étiologie déterminée. La thyroïdite lymphocytaire chronique de Hashimoto, fréquente, est caractérisée par un goitre diffus, des titres élevés d’anticorps antithyroperoxydase et une hypothyroïdie.

Voir en ligne : Ulrich Bürgi | Inselspital Bern


Mellodia - apprenez le diabète

Site destiné aux diabétiques insulino-dépendants pour mieux gérer la maladie et se préparer à l’insulinothérapie fonctionnelle,.outils et tests, connaissances, carnets glycémiques [France Grenoble]

Voir en ligne : Université Joseph Fourier, Faculté de médecine de Grenoble Alpesmed


Hypercalcémies

Les deux causes principales d’hypercalcémie sont l’hyperparathyroidie primaire et l’hypercalcémie paranéoplasique. L’hyperparathyroidie primaire est souvent asymptomatique, mais peut se compliquer de lithiase urinaire, ostéoporose, rarement hypercalcémie aiguë.

Voir en ligne : Professeur Olivier CHABRE - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble


Hyperparathyroïdie primitive

L’hyperparathyroïdie primitive, dans sa symptômatologie classique (lithiase rénale, ostéite fibrokystique), est une pathologie rare. Mais lorsqu’on la dépiste sur des critères biologiques (hypercalcémie), elle est en fréquence la troisième endocrinopathie après le diabète et l’hyperthyroïdie, avec une prévalence de 100 cas pour 100.000 habitants. Or les formes dites "asymptômatiques" le sont en fait rarement, et le dépistage de cette affection "vaut le coup" en médecine générale.

Voir en ligne : M. Paillard, La Revue du Praticien, 1998,48,11,1191-96 (1/6/98) - SFTG


Les information sur Hyperparathyroïdie primitive [Manifestations Cliniques ]

L’hyperparathyroïdie primitive est une affection caractérisée par une régulation anormale de la sécrétion de la parathormone (PTH) par le calcium. Cette affection résulte le plus souvent d’une prolifération monoclonale de cellules parathyroïdiennes aboutissant à la formation d’adénomes hypersécrétants. L’incidence annuelle est estimée à environ 4/100 000 habitants, la très grande majorité des cas survenant après 45 ans et deux fois plus souvent chez la femme que chez l’homme (surtout après la ménopause)

Voir en ligne : diagnosis pro


Diagnostiquer une hyperthyroïdie

  • Ensemble des troubles liés à l’excès d’hormones thyroïdiennes au niveau des tissus cibles : syndrome de thyrotoxicose
  • auquels s’associent des troubles variés selon l’étiologie
    Prévalence élevée mais variable selon les pays (0,2 à 1,9% toutes causes confondues). Sex ratio F/H : environ 7

Voir en ligne : Collège des Enseignants d’Endocrinologie, Diabète et Maladies Métaboliques.


Ophtalmopathie dysthyroidienne

Ce qu’il faut savoir

  1. Savoir évoquer une exophtalmie basedowienne sur ses caractéristiques clini- ques,
  2. Connaître les complications oculaires de la maladie de Basedow,
  3. Connaître les principes du traitement,
  4. Connaître les autres causes d’exophtalmie.

Voir en ligne : Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France


Hyperthyroïdie et grossesse

"La survenue d’une hyperthyroïdie pendant la grossesse pose des problèmes diagnostiques, et thérapeutiques tant chez la mère que chez son enfant. L’hyperthyroïdie non immune de la grossesse est l’anomalie la plus fréquemment rencontrée. On estime sa prévalence à environ 11 % des grossesses. Parmi les pathologies proprement thyroïdiennes, la maladie de Basedow est la cause la plus fréquente d’hyperthyroïdie pendant la grossesse. Sa prévalence est estimée à 0,2 % des grossesses. est porteuse d’anticorps anti-récepteur TSH à un titre élevé.

Voir en ligne : Dr. Michel PONCHON, Service d’Endocrinologie, Clinique Saint-Jean, Bruxelles


L’hyperthyroïdie clinique et subclinique - Quand la suspecter et comment intervenir ?

Les manifestations de l’hyperthyroïdie subclinique sont plus discrètes. Essentiellement, les conséquences osseuses et cardiaques inquiètent. L’hyperthyroïdie est une entité habituellement évidente cliniquement, qui se manifeste par une panoplie de symptômes classiques.

Voir en ligne : La Dre Godin | Université de Sherbooke - Le Clinicien revue de formation médicale continue


Prescription des examens biologiques liés à l’exploration thyroïdienne en ambulatoire en Île-de-France

Des progrès considérables dans la connaissance de la physiopathologie thyroïdienne et des techniques d’analyse biologique ainsi qu’une médiatisation importante des affections de la thyroïde peuvent expliquer la fréquence élevée des ordonnances d’examens biologiques thyroïdiens. En Île-de-France, le montant remboursé des actes d’exploration thyroïdienne représentait 5,5% du montant total des actes de biologie remboursés au premier semestre 2002, soit un montant de 9 825 841 €, pour un montant France entière de 6,5 % soit 135,7 millions d’€.

Voir en ligne : URCAM


Traitement de l’hyperthyroïdie à l’iode radioactif

L’iode radioactif est une forme d’iode chimiquement identique à l’iode non radioactif. Par conséquent, la glande thyroïde, qui absorbe l’iode pour produire l’hormone thyroïdienne, ne peut faire la distinction entre les deux. Toutefois, le noyau d’une molécule d’iode radioactif possède un excédent d’énergie et émet des radiations qui agissent sur les cellules dans lesquelles elles sont concentrées.

Voir en ligne : La Fondation canadienne de la Thyroïde.


Diagnostic et surveillance biologiques de l’hyperthyroïdie de l’adulte

L’objectif de cette recommandations est de répondre aux questions suivantes :

  1. Quels examens biologiques peuvent être utiles au diagnostic et à la surveillance de l’hyperthyroïdie ?
  2. Quelle doit être la stratégie d’utilisation des examens biologiques dans le diagnostic de l’hyperthyroïdie ?
  3. Quelle est la surveillance biologique optimale d’une hyperthyroïdie ?

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Hyperthyroïdie

La thyrotoxicose est le syndrome clinique qui traduit l’élévation de la concentration des hormones thyroïdiennes libres (cf cours de séméiologie). Elle a presque toujours une origine primitivement thyroïdienne. La sécrétion de TSH est donc freinée par rétrocontrôle : le taux de TSH est en dessous de la limite de détection du dosage (« TSH indosable »). Les exceptions à cette règle sont caractérisées par une sécrétion inappropriée de TSH

Voir en ligne : Professeur Olivier CHABRE - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble


Conseils pratiques sur les affections thyroïdiennes

Quelque 200 millions de personnes dans le monde ont une maladie de la thyroïde sous une forme ou sous une autre. Pourtant, avant que la Fondation canadienne de la Thyroïde ne soit créée en 1980, il n’existait en Amérique du Nord aucun organisme de vulgarisation pour éduquer le public à ce sujet et l’inciter à soutenir la recherche en ce domaine. Il est possible de soigner la plupart des désordres thyroïdiens ; cependant, une maladie thyroïdienne que l’on ne soigne pas risque d’avoir des conséquences très néfastes sur d’autres parties du corps. En éveillant davantage l’attention du public et en lui apprenant à mieux comprendre les troubles thyroïdiens, les malades et leurs proches sauront réagir d’une manière plus utile face à ces maladies qui prennent parfois une tournure inquiétante. Ainsi, les personnes averties seront plus aptes à signaler à leur médecin les indices d’un dérèglement possible de leur thyroïde, car le diagnostic est quelquefois difficile à établir et la maladie peut évoluer très lentement dans ses premières phases.

Voir en ligne : Fondation canadienne de la thyroïde


Croissance et développement pubertaire du garçon

Bien des troubles bénins liés à la croissance inquiètent les parents et les jeunes adolescents qui viennent alors consulter le médecin. Il est important de rassurer ces derniers en adoptant une approche rigoureuse et en leur donnant des explications claires. Trop grand, trop petit, pas développé¿ quelles sont nos réponses ?

Voir en ligne : Médecin du Québec


La gynécomastie

La gynécomastie est un développement excessif des seins chez l’homme, d’un seul côté ou des deux côtés, de façon symétrique ou non. Elle est généralement peu ou pas douloureuse, mais elle peut parfois s’accompagner d’une sensibilité de la poitrine. Théoriquement, la véritable gynécomastie n’est liée qu’à la glande mammaire, et la fausse gynécomastie ne contient que de la graisse. En pratique, les deux composantes, glandulaire et graisseuse, sont très souvent associées

Voir en ligne : M. Revol M - M. Cuminet J - M. Servant JM | CHU Saint-Louis - service de chirurgie plastique


Les 3 types radiologiques de gynécomasties

La gynécomastie est l’expression d’un message estrogénique

Voir en ligne : Sénologie / Mastology - Pr Claude Colin - Université de Liège - Belgique


Gynécomastie

La glande mammaire chez l’homme adulte est à un stade de développement équivalent à celui du sein féminin pré-pubertaire, c’est à dire avant la différenciation caractéristique du système canalaire en unités terminales ducto-lobulaires (UTDL).

Voir en ligne : Docteur F. BURTIN - Service d’Anatomie et Cytologie Pathologiques A - CHU Pontchaillou Rennes


L’obésité, l’insulinorésistance et le diabète de type 2 : l’interaction entre les cellules adipeuses et les cellules musculaire

"Le diabète sucré de type 2 (DT2) et l’obésité sont deux épidémies mondiales qui ne montrent aucun signe d’affaiblissement. On prévoit que le nombre d’adultes présentant une diminution de la tolérance au glucose (DTG) et atteints de DT2 continuera à augmenter au cours des prochaines décennies. Chez les enfants, en outre de l’augmentation régulière globale des taux de surpoids, d’obésité et de DT2, on a identifié chez certains groupes un risque particulièrement élevé de DTG et de DT2. Des progrès considérables ont été effectués dans la compréhension des mécanismes à la base du développement d’une DTG et du DT2. Récemment, ces travaux de recherche ont été axés sur les interrelations entre les organes et les « interférences » entre les différents tissus et cellules de l’organisme, et sur le rôle de ces interrelations dans le développement de l’insulinorésistance et du DT2."

Voir en ligne : Endocrinologie - Conférences scientifiques - Canada


La coopération médecins généralistes/infirmières améliore le suivi des patients diabétiques de type 2

Vieillissement de la population,progression des maladies chroniques,baisse attendue des effectifs médicaux, voire pénurie localisée, souhait de nouvelles conditions d’exercice des médecins, forte demande de reconnaissance des professions paramédicales, maîtrise des dépenses de santé sont autant d’arguments qui plaident en faveur d’une nouvelle organisation des soins primaires en France.

Voir en ligne : Yann Bourgueil, Philippe LeFur,Julien Mousquès, Engin Yilmaz - ASALEE, Action de Santé Libérale


Insulinothérapie dès le diagnostic de diabète de type 2

Cette étude chez des patients diabétiques de type 2 nouvellement diagnostiqués montre un contrôle glycémique plus rapidement atteint avec un traitement par insuline (soit en perfusion sous-cutanée continue soit en injections multiples par jour) qu’avec des antidiabétiques oraux. A un an, significativement davantage de patients traités initialement par insuline présentent un contrôle glycémique optimal sans médicament. L’intensité du traitement initial, sa brièveté (maximum 24 jours) et l’évaluation limitée dans le temps (1 an) ne permettent pas de tirer actuellement des conclusions pour la pratique.

Voir en ligne : Minerva


Le diabète de grossesse

Le diabète de grossesse apparaît vers la fin du 2e et au 3e trimestre. Il se manifeste par une augmentation du taux de sucre dans le sang qui survient uniquement lors de la grossesse. On le retrouve dans 2 à 4 % des grossesses et il peut affecter la mère et son enfant. Le diabète de grossesse disparaît après l’accouchement dans 90 % des cas

Voir en ligne : Association canadienne du diabète


Le diabète gestationnel

Le diabète gestationnel est actuellement en nette augmentation, principalement en raison de l’augmentation du nombre de femmes enceintes en surpoids ou obèses et des grossesses à un âge de plus en plus tardif. Le diabète gestationnel doit-être recherché lors de la première visite prénatale s’il existe des facteurs de risque (obésité, antécédents de diabète gestationnel lors d’une précédente grossesse, glycosurie, diabète connu chez un apparenté).

Voir en ligne : Jean Pierre Sauvanet - Médecin en endocrinologie, Nutrition et Maladies Métaboliques


Rapport de synthèse sur le dépistage et le diagnostic du diabète gestationnel

Le diabète gestationnel est un trouble de la tolérance glucidique conduisant à une hyperglycémie de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse, quels que soient le traitement nécessaire et l’évolution dans le post-partum (OMS).

Voir en ligne : HAS recommandations professionnelles- Juillet 2005


Qu’est-ce que la rétinopathie diabétique ?

La rétine correspond au film d’une caméra ; dans l’oeil, c’est elle qui capte les images à transmettre au cerveau. Sa partie la plus sensible, celle qui nous permet une vision de précision, qui nous permet de lire, d’écrire, d’enfiler une aiguille, bref d’exécuter tout travail minutieux, c’est la macula. Chez une personne diabétique, lorsque la rétine est atteinte, on parle de rétinopathie diabétique.

Voir en ligne : Association des Médecins Ophtalmologistes du Québec


Comment aider vos enfants à échapper au diabète de type 2

Jusqu’à tout récemment, le diabète de type 2 était aussi qualifié de « diabète adulte ». Aujourd’hui, le terme « adulte » a été laissé de côté, parce qu’un très grand nombre d’enfants souffrent de ce trouble métabolique qui survient quand l’organisme n’arrive pas à produire suffisamment d’insuline ou à l’utiliser correctement. L’insuline est une hormone qui aide à convertir les aliments ingérés en énergie utilisable par l’organisme.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill


Guide d’alimentation pour la personne diabétique

L’alimentation est un élément essentiel dans le traitement du diabète. Le système d’échanges, qui constitue la base de l’alimentation du diabétique, est expliqué en détail dans le Guide d’alimentation pour la personne diabétique. Ce document est un outil qui doit être personnalisé. Il est important de consulter un(e) diététiste qui pourra l’adapter à vos habitudes de vie, à vos goûts et à votre médication.

Voir en ligne : Ce guide est une collaboration du ministère de la Santé et des Services sociaux et de Diabète Québec.


Conseils diététiques aux diabétiques de type 2

Vous êtes atteint d’un diabète de "type 2". Ce document est destiné à vous aider à gérer les contraintes de régime liées à cette affection. Le diabète de "type 2" touche l’adulte d’âge mûr. Il s’accompagne en général d’un surpoids. Nous connaissons maintenant mieux les mécanismes de cette affection. Certaines règles d’hygiène de vie sont importantes à connaître, et peuvent retarder ou éviter les possibles complications du diabète.

Voir en ligne : Dr. JP Aubert, membre de SFTG PARIS-NORD


Le coût du diabète

Le diabète prélève une part toujours plus importante des budgets nationaux de la santé alors que le nombre de ceux qui en sont atteints augmente partout dans le monde. Or, en l’absence de prévention primaire, l’épidémie de diabète va continuer de s’étendre. Pire encore, d’après les projections, le diabète devrait devenir l’une des principales causes d’incapacités et de décès dans le monde d’ici les vingt-cinq prochaines années. Des mesures doivent être prises dès maintenant pour endiguer la marée montante du diabète et introduire des stratégies de soins et de traitement d’un bon rapport coût-efficacité, susceptibles d’inverser le processus.

Voir en ligne : OMS


Les pieds du diabétique

Les pieds sont le talon d’Achille du diabétique. Ils peuvent se déformer, devenir insensibles, sans défense aux agressions. Les pieds du diabétique sont exposés à développer des troubles trophiques potentiellement graves et pouvant aboutir à des amputations. Le risque est favorisé par la conjonction de complications neurologiques artérielles et infectieuses. Les lésions sont souvent secondaires à des micro traumatismes. La fréquence des lésions du pied chez les diabétiques est très élevée. On estime à 40 000 l’incidence annuelle de troubles trophiques (1). 20 à 25 % des diabétiques consultent au moins une fois dans leur vie pour une lésion du pied.

Voir en ligne : Alfediam


Complications Microvasculaires du Diabète Non Insulino- Dépendant.

Quels sont les Enjeux ? La mortalité liée aux complications métaboliques aiguës du diabète a été considérablement réduite par la découverte de l’insuline en 1922. Aussi une des préoccupations essentielles des thérapeutes est de se concentrer sur la prévention des complications chroniques du diabète, athéromateuses d’une part, et microcirculatoires d’autre part. L’atteinte de la microcirculation, ou microangiopathie, se résume en pratique aux altérations de la rétine et du rein, qui définissent la rétinopathie et la néphropathie diabétiques.

Voir en ligne : Pierre Yves Benhamou, Grenoble, décembre 1995


Néphropathie diabétique

La néphropathie diabétique (ND) devient la cause la plus fréquente d’insuffisance rénale terminale, approximativement 21% des cas en France (6% pour le diabète de type 1, 15% pour le diabète de type 2), davantage dans les pays anglo-saxons. L’atteinte rénale est un important facteur de surmortalité des diabétiques.

Voir en ligne : Thierry Hannedouche - nephrohus


La Transplantation de Cellules Endocrines pour le Traitement du Diabétique Insulino-Dépendant

La recherche thérapeutique en matière de diabète insulino-dépendant vise le même objectif général : prévenir les complications chroniques et invalidantes de la maladie, au prix d’un traitement offrant des contraintes quotidiennes minimales, une sécurité maximale et une qualité de vie optimale. On sait depuis quelques années que cet objectif passe par l’obtention d’une glycémie la plus normale possible, le plus tôt possible et le plus longtemps possible. Dès lors, deux principales solutions sont envisagées pour parvenir à ce but :

Voir en ligne : Pierre Yves Benhamou, Grenoble, février 1998 - article publié dans la revue Diabète Avenir


Diabète sucré de type 2

Le diabète est un important problème de santé dont la fréquence augmente. Il aboutit à des complications sévères aiguës (hypoglycémie, hyperglycémie et cétoacidose) ou chroniques (problèmes ophtalmiques, néphropathie, neuropathie et problèmes de pieds). Les patients diabétiques de type 2 présentent par ailleurs un risque plus élevé de pathologie cardio-vasculaire. Ces complications vont de pair avec une morbidité (sur les plans physique et psychosocial) et une mortalité importantes.

Voir en ligne : Le groupe « Recommandations de Bonne Pratique » (RBP) de la SSMG


Diabète de type 1 de l’adulte

L’objectif de ce guide est d’expliciter pour les professionnels de la santé la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un malade admis en ALD au titre de l’ALD 8 : diabète. Le guide est limité à la prise en charge du diabète de type 1 de l’adulte et ne concerne pas la prise en charge des complications du diabète.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Traitement medicamenteux du diabète de type 2

Le diabète est défini par une glycémie supérieure à 1,26 g/l (7 mmol/l) après un jeûne de 8 heures et vérifiée à deux reprises. Il est aussi défini par la présence de symptômes de diabète (polyurie, polydipsie, amaigrissement) associée à une glycémie (sur plasma veineux) supérieure ou égale à 2 g/l (11.1 mmol/L ) ainsi que par une glycémie supérieure ou égale à 2 g/l (11,1 mmol/l) 2 heures après une charge orale de 75 g de glucose (critères proposés par l’Organisation Mondiale de la Santé).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


En savoir plus sur le diabète

  • Causes : qu’est ce que le diabète et pourquoi ai-je du diabète ?
  • Définition, épidémiologie et dépistage : quelle est la fréquence du diabète ? Quelle est sa définition ?
  • Qui et comment dépister ?
  • Traitement : comment traiter mon diabète ?
  • Surveillance : Comment dois-je surveiller mon diabète ?
  • Complications : quels sont les risques pour ma santé si je ne me soigne pas correctement ?
  • Déséquilibre soudain du diabète, hypoglycémie, hyperglycémie, acétone : j’ai une baisse de sucre, j’ai une hausse, je trouve de l’acétone dans les urines, je suis malade, je vais me faire opérer, je dois rester à jeun, je voyage, que dois-je faire ?
  • Gynécologie : grossesse, contraception, ménopause : puis-je envisager une grossesse, quelle contraception, quel traitement de la ménopause ?

Voir en ligne : Professeur Jean-Jacques ALTMAN | Diabète HEGP



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Mise à jour le
lundi 27 avril 2015

Aucun renseignement médical d’ordre personnel ne peut être fourni par correspondance.

Il faut consulter son médecin pour obtenir, après un entretien, un examen clinique et d’éventuels examens complémentaires, des recommandations et prescriptions personnelles et précises, notamment en matière de diagnostic et de traitement.

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