Comme il n’existe encore aucun médicament aux effets neuroprotecteurs clairement démontrés, c’est essentiellement la symptomatologie du patient qui va déterminer le moment de l’instauration du traitement. Il est important de pouvoir disposer d’un soutien psychologique pour gérer le diagnostic. Les agonistes de la dopamine promettent de retarder l’apparition des dyskinésies chez les jeunes patients.